il y a d’abord le temps de la prise de vue / un temps où j’accepte de sentir et de ressentir / un temps où il y a un insu et un « invu » qu’il me faut préserver de l’intention d’un but à atteindre et de la volonté d’en finir / d’ailleurs je n’en finis pas / j’erre sans cesse et sans mobile là où les lieux ne constituent pas une source d’inspiration ou de révélation / là où ni l’identité, ni l’histoire, ou l’événement ne font véritablement sens /